Loin de moi l’idée de faire une critique littéraire du prix Renaudot 1932, même si dans ma jeunesse j’ai du lire et relire cet ouvrage à des fins purement scolaires. J’avoue que l’enthousiasme de ma professeur de français pour ce monument de la littérature française contemporaine m’a toujours dépassé mais vu mon niveau en littérature, je m’en remet donc à son expertise sur ce point. Cette introduction sans relation avec le sujet m’a juste permis de vous faire croire que j’avais une minimum de culture littéraire comme on dit la culture c’est comme la confiture moins on en plus on l’étale (ça pour le coup c’est drole… enfin c’est moins pire).
Tout cela pour vous faire part de mon humeur tout simplement, à l’approche du mois de mars, un mois qui va nous permettre d’augmenter le nombre de minutes de soleil chaque jour mais aussi de passer en horaires d’été, de bien sûr perdre une heure de sommeil mais surtout de voir le soleil se lever beaucoup plus tôt le matin. Moi qui court le matin à 6 heures, j’avoue que les footings a la lumière de la frontale commence à me peser. Je ressens le besoin de sortir de cette routine hivernale.
Il est vrai que les premiers footings de nuit sont sympas, eclairés à la lumière de la frontale, le silence de la nuit est euphorisant mais au bout de plusieurs mois et alors que l’hiver bat son plein et que les températures sont souvent négatives, j’ai besoin de soleil. Depuis deux / trois sorties, je commence à voir la lumière du soleil apparaître en fin de séance. Ce matin, l’éclairage public s’est éteint quelques minutes avant la fin de mon entrainement et depuis une semaine j’ai pu abandonner ma frontale.
Tout cela me fait dire qu’il faut encore tenir quelques jours et la lumière du jour devrait progressivement reprendre ses droits sur mes footings matinaux. Suffisamment pour profiter de cette période, où chaque matin offrira une couleur différente dans le ciel du bleu au rose en passant par l’orange. Encore quelques semaines et le printemps arrivera ! J’ai hâte !