Plus que 2 semaines avant le départ pour New-York, les choses se mettent en place tout doucement et je vais me laisser guider par l’organisation du New-York Road Runners. C’est une constante dans les retours que j’ai sur les expériences au marathon de New-York : l’organisation est tout simplement hors norme. Le système de sécurité sur la zone du départ, mais aussi les nombreux bus qui emmènent les coureurs sur Staten Island, tout est réglé au millimètre.
La mauvaise nouvelle, c’est que j’ai choppé une petite crève / sinusite, j’ai pris tout de suite au sérieux cette petite alerte avant que cela ne devienne plus grave : ralentissement dans les entrainements et un peu plus de repos. Cela semble s’être calmé aussi vite que c’était arrivé. Je peux donc reprendre les choses sérieuses.
Il reste encore deux semaines mais le plus gros de l’entrainement est derrière nous, j’ai pu enchainer comme je le voulais du kilométrage sur des grandes sorties pendant les week-ends. Maintenant je continue de travailler mon rythme marathon pour bien le mémoriser et le maintenir au mieux le jour de la course.
Je crois que je n’ai jamais autant attendu une course que celle là, prendre le départ et je l’espère ralier l’arrivée de ce marathon mythique à Central Park, occupe pleinement mon esprit.
Je m’inquiétais pour le décalage horaire mais il est en fait tout à fait en notre faveur a nous les européens. En effet, il est conseillé d’arriver le plus tard possible à New-York (je serai sur place le vendredi en début d’après midi), deux jours avant la course. Avec les 6 heures de décalage horaire avec la France, je n’aurais aucun problème pour me lever très tôt (en heure américaine) le dimanche matin et me rendre au départ.
L’organisation n’hésite pas à motiver les coureurs sur les réseaux sociaux