Running, Trail, Fitness
 
 

Transvulcania 2012 avant le départ avec Emmanuel Gault

sylvaine


 

J-1 avant d’arriver sur le terrain… !


Jeudi, à peine le boulot fini, je saute dans un train, c’est pas les vacances, mais le WE s’annonce bien, paraît qu’on va sur une île là bas, au loin !

Narbonne, 1ère destination, là bas m’attend mon chéri d’champion ! 😉 

Bon la SNCF j’commence un peu à en avoir marre, j’me trouve comme par hasard, tout le temps dans le mauvais train qui est en retard…Mais pour une fois, bonheur, il arrive pile à l’heure ! Manu est arrivé juste avant moi, synchro, ça va. Sur le quai les retrouvailles comme au cinéma…on se repère au loin là bas, on se rapproche pas à pas et on se saute dans les bras ! Des vrais amoureux quoi ! 😉 Ok, c’est sympa mais cette fois on ne s’attarde pas, y’a de la route qui nous attend là…En voiture et on y va ! Il est 19h15…

Barcelone, 2ème destination, là bas on y prend notre 1er avion !

Oui parce que Santa Cruz de la Palma, ça ne s’atteint pas comme ça. Il faut en utiliser des moyens de locomotion ! Le vol est demain matin, ça tombe bien, on va passer faire un coucou au frangin qui vient de s’installer dans la ville avec sa p’tite femme et ses bambins. On boit un thé, on papote des dernières épopées, et il est rapidement l’heure de décoller. Notre hôtel n’est pas à côté et demain on est obligé de se lever. Un bisou, bonne chance, à dimanche, et quelques kilomètres plus loin, nous voilà allongé pour une courte nuit mais qui va faire du bien.

Il est 00h15…

Madrid, 3ème destination, c’est là bas qu’on prend notre 2ème avion !

Le réveil sonne à 7h, on aurait bien signé pour une grasse matinée, mais dans 45’ la navette de l’hôtel doit nous récupérer. Pas le temps de se papouiller ! On avale rapido un bon p’ti déjeuner, les affaires pliées, direction « el prat del Barcelone » pour une 1ère envolée. Navette rapide, à l’aéroport c’est toujours speed, vivement qu’on soit posé dans l’avion pour faire un peu le vide. Enregistrement, on ne met rien en soute pour gagner du temps. Portique de sécurité pour accéder à l’embarquement, on est pile dans les temps, les gens sont déjà en train de monter dedans. Une affaire rondement menée, nous voilà les fesses posées et prêts à s’envoler.

Il est 9h30…

Santa Cruz de La Palma, 4ème destination, c’est là bas qu’on va voir courir des grands champions! 😉 

Quelques heures dans les airs et déjà l’avion redescend sur terre. Suite à un problème technique, on est parti plus tard, mais le pilote semble avoir rattrapé le retard. Arrivée 11h passé, et à 12h y’a l’autre qui est sensé décoller…Ouais bah va quand même falloir trouver le temps de manger et c’est pas gagné. Le temps de sortir de l’engin, de traverser l’aéroport pour rejoindre la porte d’embarquement qui va bien, une bonne demi-heure au moins. Il se fait faim…Les passagers sont déjà prêts à embarquer (sont tous en train de se regarder, parce qu’ils ont bien remarqué, qu’il n’y avait presque que des coureurs à pied), tant pis, on fait un détour au snack sinon on va dessécher ! 10’ top chrono pour avaler un truc pire qu’un Mac Do…Pommes bananes à la main, on finit le repas en embarquant ça craint. Mais ça nous fait rire, tout va bien. L’avion est blindé de trailers, tous le même look avec leurs tenues sportives pleines de couleurs, affûtés comme des lames d’escrimeurs.

Il est 12h…

3h de vol et nous serons enfin à destination. Reste à louer une voiture, trouver notre hôtel, aller chercher les dossards, et ne pas oublier d’aller à la réunion. Un footing planifié, j’sais pas quand je vais pouvoir le caser…Bref, de toute façon j’ai fini le vis ma vie de Sissi en transit aux Canaries, et je consacre la suite du récit à tous ces coureurs aguerris. Photos, vidéos et compagnie, j’espère vous ramener de quoi vous faire vivre l’évènement comme en vrai on le vit !

2 commentaires sur “Transvulcania 2012 avant le départ avec Emmanuel Gault”


Posté par Laurent Le 12 mai 2012 à 6:48

Merci Sylvaine….. Vivement la suite !

Répondre


Posté par Elisa Le 12 mai 2012 à 7:55

Merci Sylvaine de nous faire partager cette superbe épopée !

Répondre


Laisser une réponse