Le froid, mais aussi le fait que je fais du vélo plus régulièrement pour préparer mes triathlons, m’ont fait reconsidérer l’acquisition d’un vélo d’appartement. Mais comme vous tous, j’avais déjà fait l’acquisition de ce type de produit mais je l’avais trouvé sans grand intérêt et l’assiduité est parti avec le temps…
Puis j’ai découvert le Home Trainer… au départ je n’ai pas bien compris la différence, pour moi c’était exactement la même chose : un moyen de faire du vélo sans sortir de chez soi. En fait, c’est complétement différent, le Home Trainer permet de s’entrainer avec un vélo standard avec un support spécifique.
Il suffit de changer l’axe de la roue arrière et ensuite de venir présenter cet axe directement dans le support. Ensuite on règle le rouleau qui va venir frotter contre le pneu. Le pneu c’est effectivement important de le signaler, il est préférable de le changer pour mettre un pneu spécifique pour home trainer. J’avais un doute mais c’est un facteur très important, j’ai fait des essais avec et sans. Résultat : avec le pneu classique cela glisse, il est difficile d’accélérer et quand cela se durcit, cela patine.
Autre remarque du néo-fit que je suis : je me disais c’est moderne, il doit falloir le brancher sur une prise de courant ou mettre des batteries… Mais non forcément, où peut-on trouver autant d’énergie perdu que sur un home trainer ? nulle part ? le home trainer c’est quand même le concept de la roue d’hamster appliquée à l’homme. Alors logiquement les créateurs de ce genre de produit n’ont pas osé (très justement) mettre une batterie ou un transformateur.
Alors qu’avant les homes trainers étaient pilotés par une manette activée manuellement, maintenant c’est votre téléphone en bluetooth ou votre PC en ANT+ qui va piloter la difficulté. Une véritable révolution informatique !
Pour ma part, j’ai choisi le modèle Neo Tacx Smart pour ses nombreuses fonctionnalités. Je vous expliquerai dans un prochain article comment je l’utilise.