Préparation de la boisson : un peu complexe. Il faut en effet disposer d’une balance de cuisine. Voilà qui est assez contraignant, n’est-il pas ? Vive les sachets pré-dosés. La dite balance de cuisine servant à mesurer les 35 grammes de sucre de canne non raffiné (Rapadura) à dissoudre dans 1/2l d’eau auquel on prend soin d’ajouter 2 pincées de sel.
Goût : franchement dégueu. Vous vous rappelez la dernière tasse que vous avez bue à Biarritz en tombant de votre surf. Oui ? Et bien, c’est pareil mais avec du sucre en plus. Par contre, aucune rémanence en bouche, ni sucrée, ni salée. Je dois avouer que ce FredSuperTonic manque furieusement d’arôme très artificiel de fruit. Il paraîtrait que le labo en charge du produit soit en train de travailler sur une nouvelle formule qui comprendrait l’ajout de jus de citron et le remplacement du Rapadura par du sirop d’agave bio. A suivre …
Effets secondaires : strictement aucun. Pas de problème gastrique en vue.
Durant l’effort : excellente hydratation pendant toute la séance. Pas de fatigue physique en fin d’effort. Les sucres contenus dans le Rapadura limitent les pertes en glycogène et permettent de maintenir un état de fraîcheur pendant les 2 heures de la sortie.
Distribution : le mode de distribution de cette boisson est très particulier. Elle n’est distribuée dans aucun point de vente et ne fait pas l’objet non plus d’une distrib par marketing relationnel, ce qui évite les schémas pyramidaux. C’est, en fait, la première boisson en Open Source (source … eau … capito ?).
Conclusion : une excellente boisson de l’effort si l’on fait abstraction de son goût pour le moins … franchement … pas génial. Laissons aux labos Fred le temps de mettre au point la nouvelle formule citron-agave.