Je suis un très mauvais élève en terme de nutrition. Il faut avouer que pour moi la nourriture est synonyme de plaisir, de moments partagés et de festivité. Mais depuis l’an dernier, j’essaye d’être un peu plus sérieux et de comprendre ce qu’il y a dans mon assiette pour optimiser mes performances (sans tomber dans les extrêmes non plus).
La course à pied, à cause des chocs répétés avec le sol, a tendance à détruire les fibres musculaires. Pour assurer la reconstruction de ces fibres musculaires, il faut avoir une apport en protéines plus important qu’une personne qui ne pratique pas.
On parle généralement de protéines mais les acides aminés contenus sont tout aussi importantes. Il existe plusieurs types d’acides aminés certaines sont essentiels, d’autres moins. Certains sont produits par notre corps et d’autres sont présents dans la nourriture. Les aliments que l’on mange sont autant de sources de protéines nécessaires à notre corps pour pratiquer la course à pied.
Il faut donc surveiller son apport en protéines pour s’assurer une bonne reconstruction musculaire afin de bien supporter les périodes d’entrainement longues et intensives comme la préparation d’un marathon.
En fonction de votre régime, vous pouvez trouver des protéines dans de nombreux aliments. Il ne sert à rien de manger trop de protéines car le corps ne les stocke pas. Le surplus est rejeté.
La majorité des sources de protéines sont d’origine animale : viande, poisson, oeufs, lait (et ses dérivés : yaourt, fromage,…).
Mais contrairement à ce que certaines croyances véhiculent, il existe de nombreuses sources de protéines d’origine végétale : soja, tofu mais aussi les légumineux comme les pois chiches mais aussi les fruits à coque (les noix, les noisettes, les pistaches,…).
L’apport en protéines d’un sportif doit être supérieur de 50 à 100% à un sujet de même corpulence sédentaire. Un sujet sédentaire a besoin de 0.8 g/ kg / jour de protéines alors qu’on estime qu’un sportif a besoin de 1,2 g à 1,7 g / kg / jour. Il peut alors être pertinent de prendre des compléments en protéines.
Si les protéines en poudre étaient réservées auparavant à la prise de masse musculaire pour les athlètes de body building. L’offre évolue et elle est de plus en plus orientée vers la reconstruction musculaire après l’effort.
La plupart des offres de protéines sont basées sur les protéines du lait. Mais le véganisme prenant de l’ampleur, des offres apparaissent en se basant sur des protéines végétales.
Apurna propose des protéines végétales, faible en matières grasses et sans sucre, sur la base du soja, du quinoa et du pois.