J’avoue que je n’arrive pas à me positionner.
Je comprends les coureurs, c’est la course d’une vie, c’est souvent après avoir fait des économies pendant plusieurs années et après des mois d’entrainements. En plus de ça, le maire de New-York annonce que le marathon aura lieu… pour l’annuler quelques jours plus tard.
Je comprends la ville de New-York, elle ne pouvait pas mettre en place et gérer l’événement car la plupart des agents de la ville avait bien mieux à faire que de s’occuper de gérer une course qui accueille des dizaines de milliers de coureurs avec toute la logistique que cela comporte (installation, policiers pour gérer le parcours, nettoyage après,…).
Cette année, j’ai vécu les inondations du mois de mai près de Nancy, la boue et la pluie : c’est le rappel de la puissance de la nature, rien n’y fait cela passe partout et laisse place à des traces marrons. Les new-yorkais ont vécu les mêmes scènes de désolations… et je comprends que leurs coeurs n’étaient pas vraiment à la grande fête du marathon.
L’erreur c’est d’avoir annoncée le maintien de l’épreuve et de l’avoir annuler par la suite. Sinon je pense que les coureurs auraient compris.
J’espère que les assurances verseront les indemnités pour que les coureurs puissent réaliser leur rêve car si l’on compare ce cout à celui des dégâts que la ville a subit : ce n’est rien.
Pour éviter les longues procédures judiciaires, il aurait suffit d’annoncer tout de suite l’annulation du marathon et le remboursement des coureurs.
Quand est-il des contrats d’assurance des voyages ? En général, il existe toujours des clauses pour les catastrophes naturelles ?