Il suffit de voir les joueurs de football, dès qu’il y a des mauvais résultats dans une équipe c’est souvent l’entraineur qui saute… Et pourtant le métier d’entraineur est passionnant, l’envie de guider l’autre à être meilleur peut être pour mieux soigner la frustration de n’avoir jamais été aussi bon que l’athlète qu’on aide. Vivre au travers de lui, une expérience plus intense que sa propre carrière d’athlète.
Si durant l’entrainement les échanges sont intéressants, si le temps d’observation de l’athlète et les conseils donnés sont toujours mesurés et enrichissants pour les deux. Le temps de la compétition est difficile: ce moment où l’athlète est seul sur la ligne de départ, dans son effort. Où l’intervention du coach se résume souvent à quelques mots échangés en quelques secondes.
Une frustration terrible après des mois d’entrainement de ne pas pouvoir intervenir et de laisser l’athlète « seul » avec son destin. C’est alors tout le travail en amont qui va permettre de faire la différence.
Les plans d’entrainements c’est bien mais avoir un coach dans un club qui va apprendre à vous connaitre et vous proposez des entrainements adaptés à vos objectifs c’est mieux. On ne peut résumer un coach à la distribution d’une liste d’entrainements à faire.