Humeur

Bilan 2019 : plutôt positif

Retour sur cette année 2019 qui fut dense : 2 marathons, un half-ironman et quelques autres courses. Au total, plusieurs milliers de kilomètres en vélo, en basket ou en natation.

Le marathon de printemps

C’est une course que je déteste mais qui permet de partir sur de bonnes bases. Avoir comme premier objectif, un marathon au mois d’avril c’est s’assurer d’une bonne préparation hivernale. Des sorties longues dans le froid de l’hiver, des fractionnés sous la pluie, des footings de récupération contre le vent,… c’est loin d’être simple mais ça assure de lancer l’année sur de bonnes bases.

Début avril après 4 mois de préparation, me voilà au départ du marathon de Paris avec quelques amis,… dès le matin, je sens que je me suis en forme. Nous prenons le départ avec plusieurs amis depuis l’arrière. Je remonte progressivement les coureurs, je m’alimente correctement et surtout je bats mon record et je passe pour la première fois sous la barre des 4 heures.

Saison des triathlons

le deuxième objectif de la saison est en septembre avec le triathlon de Gérardmer version XL. A partir du mois d’avril, tout est orienté vers cet objectif. Je vais donc augmenter les distances en vélo, maintenir au maximum ma forme en course à pied et nager régulièrement.

Il me faut augmenter le volume des sorties en vélo et travailler le dénivelé. J’irai à plusieurs reprises reconnaître le parcours vélo du triathlon de Gérardmer.

Je participerai aussi à plusieurs triathlon en mai et en juin :

Après un été sérieux et un mois d’août où j’ai cumulé plus de 900 km à l’entrainement, je me sens prêt pour affronter ce grand défi et j’arrive au bout dans la fourchette de temps que je m’étais fixé.

2 semaines plus tard, je prend le départ d’un triathlon M au lac de la Madine, excellente surprise je passe pour la première fois sous la barre des 3 heures en 2h59m27s malgré un parcours vélo légèrement valloné et quelques kilomètres en plus et 500 mètres en plus sur le parcours vélo.

Fin de saison en demi-teinte

A la suite, je reprend l’entrainement uniquement en course à pied car 2 mois plus tard je dois prendre le départ du marathon de New-York. Tout se passe plutôt bien mais à 3 semaines du jour J, une bronchite m’oblige à tout arrêter pour guérir plus rapidement et éviter toutes complications.

Je pourrai tout de même courir le marathon de New-York 2019 mais en oubliant l’idée de repasser encore une fois sous la barre des 4 heures… L’occasion de courir tout en profitant un maximum de cet événement exceptionnel.

Pour finir la saison en beauté et pour participer à la fête, un petit tour sur l’un des parcours de la Saintélyon, une course tellement différente.

Et 2020 ?

Pour l’instant, tout n’est pas encore calé, j’aimerais refaire un marathon en début de saison car c’est une excellente motivation pour l’hiver. Mais pour l’instant, je n’ai ni date ni course…

Une chose est sûre : après 6 saisons de triathlon et une progression constante aussi bien en temps qu’en distance, je prendrais pour la première fois le départ sur une course au label ironman au Luxembourg pour un ironman 70.3 ou half.

Le reste devrait se dessiner dans les prochaines semaines mais je commence à travailler le foncier pour un marathon au mois d’avril, il faut juste que je trouve lequel…