Depuis quelques années, la marque travaille sur une gamme pour le running et n’hésite pas à casser les codes avec de nouvelles matières, de nouvelles méthodes de conception.
Quand on prend en main ce modèle, la légèreté surprend (seulement 198 grammes pour le modèle homme et 184 grammes pour la version femme). Pas de semelle de propreté, le semelle interne est fusionnée avec le tige dans un mesh percé et légèrement alvéolé. Le talon est ainsi bien enveloppé et des éléments de renfort externes pour compléter le maintien latéral.
Une semelle moulée avec des inserts en couleur rouge et avec une meilleure durabilité sous l’avant pied et sous le talon. Un autre insert pour la stabilisation de pronation sur le côté à l’intérieur. Seul les lacets semblent un peu plus standard alors que la chaussure tranche vraiment avec les modèles actuellement disponible sur le marché.
Et alors ? Assez hallucinant… on est vraiment dans une gamme de chaussure de performance. Le jour de la réception de ce nouveau modèle, j’avais une séance de fractionnés au menu… et je ne l’ai pas regretté. Confort, maintien et légèreté ça permet d’être au mieux de sa performance. L’absence de semelle de propreté ne me pose aucun problème car je n’ai pas trop de problème d’odeur et je ne les retire donc jamais.
Les Under Armour Speedform Apollo répondent parfaitement au code de la chaussure performante : idéal pour le court, les séances dynamiques et les courses jusqu’à 10 kilomètres. Avec ce modèle, Under Armour devrait trouver un public à la recherche d’une chaussure légère et performante tout en gardant un certain confort.
Sur la semelle intérieur, vous retrouverez les logos sur le lavage (éléments qui manquent sur les autres modèles et souvent les gens ne savent pas toujours comment laver leurs chaussures de running). Comme je le conseille, il faut les laver à l’eau froide et claire avec une petit brosse.