Au programme, une partie assez classique puisque Julien sera au départ de la TransGranCanaria et du Lavaredo Ultra-Trail. Jusque là rien de spécial mais pour préparer la course des Dolomites en Italie, Julien va participer à l’Ironman de Nice (et au Half-Ironman du pays d’Aix) l’un des triathlons les plus difficiles de France : 3,8 km de natation en pleine mer, 180 km de vélo et un marathon… tout cela pour une course de préparation…
Alors que pour un triathlète, l’Ironman est l’une des courses ultimes, Julien l’insère dans sa préparation en vue d’un Ultratrail. Démarche intéressante, qui permettra sans doute de travailler l’endurance et les longues distances tout en limitant les impacts car le vélo et la natation sont des sports portés, donc moins contraignantes pour les articulations que la course à pied et le trail.
Alors quelles sont les chances de Julien au milieu des Ironmans ?
Il faut savoir que Julien est un ancien cycliste, que c’est également un marathonien sur route puisqu’il a couru le marathon de Paris 2015 en 2h35. Seul point noir : la natation, il l’avoue lui même, il n’est pas un bon nageur et il va particulièrement appuyer sa préparation sur ce point.
Je rejoins largement Julien dans cette perspective, travailler l’endurance de différentes manières en vélo et en natation permet d’avoir une préparation encore plus complète et sans doute moins monotone.
Attendons donc le mois de juillet pour voir ses résultats en triathlon et en trail…
Bravo Julien pour ce beau défi sans langue de bois, je ne doute pas que tu apprécieras le milieu du triathlon.
Crédit Photo : Tim Lloyd