La conception en 3 dimensions permet d’avoir une amorti vertical mais également horizontal. les voutes sont equipées de petits crans et lorsque la voute est complétement écrasée, elle se bloque pour ne pas être complétement déformée.
La semelle est composée de 15 voutes. Le positionnement, la taille de la matière, la taille de l’espacement, la forme et l’alignement, chaque élément a été étudié pour rendre au mieux l’énergie.
Un conception originale et intéressante pleine de promesse. Dans le modèle CloudRunner, On a inséré une plaque plus rigide : la speedboard.
Sur l’image ci-dessous, vous pouvez voir une semelle de CloudRunner (modèle femme) éclatée. La speedboard est l’élément blanc plus rigide que les restes des matériaux et qui possède un quadrillage très précis avec des lignes plus ou moins épaisses qui vont donner de la dynamique à ce modèle.
Je n’avais jamais eu l’occasion de chausser les différents modèles de cette marque avant ce test et il faut le dire la première séance a été un peu bizarre. En effet, la semelle de propreté est équipée d’une légère bosse sur l’avant de la voute plantaire. Et j’avoue qu’après la première sortie, j’étais plutôt déçu au niveau des sensations.
Mais je sais qu’il y a toujours un temps d’adaptation quand on change de chaussures et c’est pour ça que pour faire un test sérieux, il ne faut pas faire 2 aller-retours dans son couloir. J’ai également ressenti cette gêne mais dans une moindre mesure lors de la deuxième sortie et ensuite plus aucun problème. C’est vrai que lors des premières foulées, l’amorti peut paraitre un peu sec plus par le coté sonore que par la sensation.